Mia Dolce Vita

Pas commencé, j'ai déja envie de partir.

Plus envie d'écrire ici, déja envie de déménager ailleurs, nouveau décor.

J'arrive pas à m'y faire, ça accroche pas. Plus les mots justes, envie de m'adresser à certains, ou pas du tout.

Envie d'écrire pour moi en fait, et ici je ne me sens pas chez moi.

Aprés trois ans sur un blog je commence à sécher. Je deviens dur comme la pierre et j'ai du mal à creuser ( tu suis là?)

Je veux faire naitre des écrits, pas des notes,ou des postes.

Je veux écrire ma vie, je veux tout écrire, ma vie est un théatre, Certains sont ma vie.

Mais ici ce n'est pas notre maison, notre vie, notre endroit, un blog n'est pas le foyer de mes écrits.

Je veux du temps, de quoi écrire. Laisser murir, effacer, corriger, apprécier, détester. Je veux pouvoir évoluer avec mes écrits. Les laisser à ma portée, les donner à lire à Certains quand j'estimerai que Cette personne comprendra toujours pourquoi il a eu la possibilité de poser un oeil dessus. Je ne peux me donner entièrement à l'écriture ici, je ne peux me libérer.

Je sais, des milliers de blogueurs tappent souvent des crises, claquent souvent la porte.
Certains le font beaucoup mieux que moi d'ailleurs.
Mais je refuse le discours préparé ; je me lance un défi ; je suis une personne instable, j'assume mon trait et j'essai de m'exprimer sur le vif ; d'expliquer pourquoi ce soir ; je dis au revoir.

Non en fait sans mentir je me parle presque à moi même : JE ME CASSE.

Je veux écrire, oui, commencer à rassembler sérieusement quelques textes, des textes beaucoup plus profonds que tous cela, des textes que j'ai écris en travaillant mon style d'écriture, la mise en page, les temps, le language ( tu suis toujours ? )

J'aime la vie malgrés tout, j'aime Cette vie, je Les aime.

Comme disait D.  je vis par amour des mots, j'aime le faire partager.

C'est pour cela qu'il faudrait que je m'y prépare sérieusement, pour partager ça au plus vite possible.

HIHIHIHI JE VAIS DEVENIR UNE ECRIVINE COMME LOANA

Pardon.

Mais je reviendrai poster quelques fois quand l'envie me prendra de raconter quelques anecdotes amusantes de ma vie, style mes parents me traitent d'irresponsable car pour la 589 fois de ma vie j'ai paumé mes clefs, et que ma mère en devient limite insomniaque puisqu'évidemment demain on risque de nous cambrioler étant donné qu'elle a retrouvé une partie du trousseau devant chez moi. C'est donc évident que les clefs arrivent jusqu'à un gentil inconnu qui ai la bonne idée de venir essayer la clef dans ma gentille serrure.

" T'inquiète le couillon qui trouve des clefs il va les essayer partout " dit Père
" Génial !  j'aurai vraiment pas de cul que le mec tombe pile poil sur notre baraque"
" ouiiiiiiiiii mais ça peut arriver " .( Ma mère ) t'aurais deviné.
" Bah soyez prévoyant et faites changer la serrure ça reviendra toujours moins cher que de rembourser le salon.

J'te manque déja là, non ?  :D

                                    Un grand Merci à S. Roux pour ces photos, splendide travail.

Eh c'est partit pour le show, et c'est (re)partit tout le monde est show, et c'est r'partit bouge moi sur ce flow..blablablabla. Pute.

- 08H00 du matin ( ça existe,ça ? ); accueillie par une bouteille de cointro, l'entrée est blindée de starlettes générations 90, 1M50 et 45 kilos d'os; seulement; qui ressemblent ( presque ) toutes à des divas de Pop and the stars, et qui luttent pour la bonne santé des jeunes asiatiques qui leurs fabriquent leurs " shoes " à lacets jamaïquins.
L''exception qui confirme la rêgle : une nana de 18 ans en seconde qui à la moustache de Bové, et qui pue le wisky à trois bornes.
La jente masculine est de grande taille, bien qu'on finit par les trouver quand même petits, normal, le temps passe, et on finit par regarder les secondes comme on regardait des sixièmes ou cinquièmes à la fin du collège, ou les Cm lorsqu'on quittait les cours primaires.
Ici, l'exception qui confirme la regle du plus vieux pénis lycéen est un type de 24 ans qui a décidé de reprendre les études, et donc passer le bac.
Et moi qui le trouvait imberbe..

- Journée à accompagner le ruth de Copine A. et ses " rouges qui la gratte entre les jambes ". La pause passée à nous foutre de la gueule de ce genre de type qui parle sans cesse de pépettes et de baises depuis qu'il à un bouc-a-la-con, et qui se débine lorsqu'elle lui propose une simple partie de jambe en l'air. Puis qui exclu le mot dignité et qui revient vers A. qui elle a décidé d'etre moins directe et qui lui annonce qu'il serait bien assortie avec sa housse de couette, et qu'elle souhaiterait aller voir Carlos en concert avec lui :|

L'autre A, mon A. qui a choisit l'option sociale en même temps que son nouveau baggy vert kaki. Alors que j'avais définitivement choisit de plus poser un oeil sur cette magnifique créature, mais il me l'a demandé, c'est contre nature dirait-il.

Last year at School ( T'éspères hein ?)

Année de terminale qui me portera en faculté ( t'éspères hein? ) , dans un " chez moi " loin de tout ce monde, ou je serai bordée a six heures du mat' par un gros bras qui m'embrassera sur le front en remontant ma couette panthère, avant d'aller fabriquer des chaussures en faux cuir pour m'en ramener une vraie paire le soir même grace au fric du portefeuille du rabajois qu'il aura flingué deux heures avant parce qu'il m'aurait matter le cul.    I'm Famous, isnt' not ?

J ' aime regarder les filles qui marchent sur la plage

Toujours ces yeux bleus accompagnant ce joli sourire et sa voix douce lorsqu'il me parle.    Ici c'est contre nature de pas consentir mutuellement à s'enfermer dans les chiottes.

J'avais 15 ans lorsque je t'es dis au revoir sans savoir ou j'allais me jeter quelques jours plus tard. Tu en as maintenant 22 ou 23, et tu éspères en mes 17 ans pour que mes confessions soient plus douces et réfléchies. Moins extravagante , moi ?

Cool babe, It's soon the happiest days of your live.

Mes yeux se sont posées plus de deux minutes sur un inconnu.
Un blond.
Un record de matter un blond pendant plus de deux minutes.
Record pour lui surement aussi.

( Connasse )

Merci à Cyril Delacour pour son talent

Mal au ventre rien à dire

Il veut me voir mais je refuse. Sa compagnie ne me déplairait pas aujourd'hui, mais j'ai trop peur qu'il me hante à nouveau, trop peur de pleurer sans savoir, d'avoir envie de lui puis l'aimer et vouloir le voir mourir.. Je n'aime pas l'amour, j'aime aimer. J'aime cet état bestial qui aprés des siècles de souffrances me rendent à l'état animal ou je me jette sur la carcasse pour m'en débarasser violemment une fois qu'elle est vide. Je ne veux plus m'accrocher à un sourir, des yeux qui brillent, partager une cigarette à deux ni répondre a des mots avides de sens, je ne t'aime plus non, je m'aime à peine, et à cause de toi. Tu vois, je me serais tuée pour toi, je me suis abimée, et maintenant je pourrai te chérir autant que te détruire, tu m'as rendu plus forte et plus méfiante, je suis une bête sauvage et tes attitudes maladives ne m'atteignent meme pas, je n'ai pas peur que tu meurs, ni même que tu disparaisses, ni toi, ni les autres, je réduit maintenant le mal à une force absolue, dont j'ai à tout prix besoin pour avancer. Tu m'as pas mal bousillée ouais, lis ça, tu me reconnais ? ces phrases qui ne veulent rien dire, mais qui disent tout à la fois, mon crachat jaunatre et gluant que je laisse dégouliner tranquillement sur le mot " amour ", laisser moi vivre, aimer c'est une autre histoire.

Et malgrés tout tu restes ma plus belle muse...

Mon blog ressemble à un brouillon de sautes d'humeurs, mes écrits ne sont ni interessants, ni profonds, ni rien. Je me lasse à écrire alors que j'adore le faire.  J'ai une vague d'humanité qui m'arrive en  pleine figure, on dirait pas comme ça aprés le paragraphe ci dessus et pourtant, envie de parler, a quelques gens, je me sens bien, le moral tient bon pour une fois mais mon corps ne suit rien, je suis un cadavre ambulant qui va tracer en robe de chambre l'aprés midi en esquivant ses appels et ses pleurs.

Ras le bol de ces vacances, de ces journées qui se ressemblent toutes, d'avoir trop de temps pour prendre le temps, il me tarde de me sentir exister, encore.

Les 18 questions de Mayiaa et ses questions : " J'ai une question, découpes tu tes crèpes en fins morceaux ?"